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23 janvier 2008 3 23 /01 /janvier /2008 21:58
Mea culpa, j'ai cédé à un titre raccoleur, car je ne peux en fait me targuer que d'UNE bonne résolution.
Je ne vous décrirai pas par le menu ma paresse frôlant l'inconscience qui m'a assaillie méchamment (la bougresse) durant le 1er semestre, mais pour résumer, je n'ai pas travaillé le 10e de ce qu'il fallait. Bref, forte de cette constation, voilà bientôt un mois que je fais la fière auprès des parents :

"Ce semestre-ci, je bosse mes cours tous les soirs".

...Hum, pourquoi rigolez-vous ?
Bonnes-r--solutions-6.JPG
Conclusion :
Résolution de 2008 : ne plus faire de bonnes résolutions !
Ca m'évitera de me rendre compte qu'un fois encore elles passent à la trappe...

*Astérie, qui révise ses positions*
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21 janvier 2008 1 21 /01 /janvier /2008 15:04
Allez, avouez. Que celui qui ne s'est jamais trompé en réglant son réveil me jette la première pierre.
Oncle et tante ont du mal à croire que je me sois trompée innocemment alors que j'avais ce délicieux cours de...
Laissez-moi saisir mon pinceau que je vous raconte !

*Cliquez*
pour voir en plus grand...Lundi-matin7.JPG
*Astérie, même pas honteuse !*
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14 janvier 2008 1 14 /01 /janvier /2008 15:11
Ah la joie de rentrer à nouveau dans le bain des cours en amphi. Les nouveaux profs, les nouvelles... matières. Sigh, c'est bien ça le problème. Car nous avons la joie de découvrir l'enseignement sobrement (!) intitulé : Epistémologie et Méthode. Tout une branlette intellectuelle programme.
Je ne tenterai pas de vous décrire ces deux heures d'anarchie. Juste, en vrac :
- une jolie phrase pour commencer le cours : "Ce n’est pas parce qu’il y a à la tête de l’État une survalorisation du sur-moi que tout est possible" [sic] ;
- des petits mots doux qui font plaisir à entendre : "Mais vous n'êtes que des bébés vous savez ! Je vous vois, en train de vous gratter le nez, à vous jeter sur votre crayon dès que je prononce le mot "définition" !" [Monsieur Joana, revenez !!] ;
- et euh...des bribes de cours, entendues ça et là. Apparemment, ça parlait de biologie (oui, vous avez bien lu. Darwin, les cellules tout ça. Le rapport avec les sciences sociales ? Je cherche toujours !).  Le reste, je ne sais pas, j'étais en train de planifier mon week-end  [Stade Toulousain vs. Edimbourg samedi après-midi héhé]. Mais je ne crois pas avoir perdu au change, je vous laisse juger vous même les quelques perles que j'ai laborieusement notées entre quelques baillements, mots croisés et sudoku.

*Astérie, blasée*
Epist--mologie--encr----4.jpg
ti_bug_fck
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12 janvier 2008 6 12 /01 /janvier /2008 18:42
Vous me connaissez, je ne suis pas du genre à étaler mon bonheur (a) mais hier à midi, ce fut la fin de 4 mois significatifs, et éprouvants d'une certaine manière. Ces petits bouleversements ont pu me faire peur, mais maintenant que ces partiels sont finis, la page se tourne et je suis plus sereine. Deuxième semestre nous voilà, une nouvelle année civile commence, une 19ème année va bientôt débuter...

Le chemin continue, et nous en avons fêté hier avec bonheur un tournant significatif !

Merci à toi Pauline pour l'après-midi shopping,
Merci à toi Debbie pour la soirée, et à vous tous pour votre présence :).
Et puisse-t-il y en avoir encore beaucoup d'autres, avec autant de bonne humeur !

*Astérie, rassérénée*
DSCN1950.JPG
Anthony, Thibaut, Marion, Justin et Paul, de joyeux drilles pour une joyeuse soirée !
Qui s'est finie en beauté, hein les garçons... Hum :P
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10 janvier 2008 4 10 /01 /janvier /2008 22:09
Ce billet est à lire avec Norah Jones en fond musical, en sirotant un bon chocolat chaud, la pluie tombant doucement sur le vélux, le chat ronronnant sur les genoux...

Et voilà, c'est mon blog, mais poster des billets de déprimée fait grogner tout le monde comme si je devais constamment être pleine de vie et de bonne humeur pour donner la patate à tout le monde.
Bon, comme d'hab j'exagère un peu, c'était juste pour vous embêter, "qui aime bien châtie bien" hein.
Et puis, c'est vrai qu'il vaut mieux avoir la joie de vivre, c'est plus "fun", plus "d'jeunz", plus tout. Faut d'ailleurs avouer que c'est toujours plus facile d'avoir le sourire lorsque les partiels sont quasiment terminés. Alors
, pour ne pas vous donner l'impression de quelqu'un qui marchait à reculons vers l'échafaud, je publie sur l'un des p'tits plaisirs que j'ai retrouvé ici à Toulouse,
...ma couette...
Je vois déjà un sourire entendu se dessiner sur vos visages familliers : la voilà repartie avec son apologie du sommeil !
Eh oui, que voulez-vous, on ne me changera pas^^. Que j'vous explique un peu mieux.

C'est simple, je pourrais y passer mes journées.

Ce n'est pas que je veuille faire des infidélités à mon douillet lit resté à Pontigné-Plage, mais là je vous assure, c'est du super luxe***.

Une journée un peu difficile ? un p'tit coup de blues ou de fatigue ?, et la partenaire idéale vous tend les bras.
C'est comme si vous aviez oublié que vous dormiez seule : enveloppé pesamment, emmitouflé, votre corps plie sous les kilogrammes de tissu synthétique matelassé et les épaisseurs de draps rouge grenat. D'ailleurs, heureusement que vous l'êtes, célibataire... Pas besoin d'un radiateur dans le lit, et la couette prend toute la place ! Le lit ne paraît plus si grand, au contraire, et se remplit de douceur dans laquelle il est bon de se blottir. A peine si l'on voit le plafond. Des coussins de-ci de-là, le traversin, les oreillers... Plus qu'un lit, c'est un nid...
Ben oui, quand on est loin de ses amis on reconstruit un lieu intime où l'on se sent bien pardi !
Et c'est là que, les yeux s'alourdissant progressivement, les petites loupiottes de la guirlande électrique en tête de lit clignottent paisiblement de leurs signaux colorés, les sourires des photos punaisées m'envoient leurs plus beaux sourires que je connais désormais par coeur, et je m'endors, bien au chaud...

DSCN1928.JPG

D'ailleurs, mon Prince Charmant est prévenu : il a intérêt à apprécier les journées entières sous la couette :)
(sans idées mal placées rôôôh... Je parle du simple plaisir d'être douillettement bordés ! :D).

*Astérie, qui vous souhaite tout simplement bonne nuit !*
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4 janvier 2008 5 04 /01 /janvier /2008 20:07
J-tra--ne-des-pieds-.4.JPGÂme en peine que voilà, traînant sa crève et son "pas envie" (de taffer, de rentrer à Toulouse, de se lever le matin, de...tout).
Petit moral, petite forme, surtout en sachant que je ne rentre qu'en mai. Que du joyeux tout ceci n'est-ce pas ?
Alors, VOUS avez intérêt à passer par ici pour continuer de donner des nouvelles et m'entretenir de la vie baugeoise, angevine, flechoise etc...
Allez, bonne année quand même, viendra bien un billet bourré de bonne humeur sur le Nouvel An, et la soirée d'Anne très réussie (même si ce fut d'autant plus dur de vous quitter), mais...quand les partiels seront finis ! En attendant, hibernation, *mode grognon on*.
Bon courage pour la reprise.
*Astérie, qui boude*
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15 décembre 2007 6 15 /12 /décembre /2007 20:42

J-1

Vous-l-avez-en-rouge-couleurs-copie.jpg
Les derniers DST passés après moult et moult révisions (...), dernières petites courses de Noël dans la ville rose, histoire de ne pas arriver les mains vides, et... Maine-et-Loire me voilà !
Ci-dessus, une petite anecdote. Etrange paradoxe que nous vîmes dans un magasin de fringues & lingerie...!
Je ne serai pas de sitôt sur Internet (eh oui, à moi les VRAIES vacances, avec les amis... en VRAI !) aussi je vous souhaite sans attendre de bonnes vacances (ou révisions, le cas échéant ^^), et à bientôt mes chers Angevins...
J'arrive ! :P
*Astérie, over-excited !*
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8 décembre 2007 6 08 /12 /décembre /2007 22:54
DSCN1904.JPGIl fait peur mon classeur hein ?

Le début d'une longue série d'examens...
P'tite pensée fraternelle à tous ceux qui triment devant leurs classeurs bien trop remplis !
*Astérie, pas motivée*
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5 décembre 2007 3 05 /12 /décembre /2007 21:57

Autoportrait-28.jpg

Un jour irait, l’autre non. Je ne sais comment ni pourquoi mes doigts se portent si naturellement ici. Un désir, un besoin, une obscure machination d’un inconscient pervers et machiavélique qui pousse à un ersatz de (guérison ?). Si j’aime traîner là, peut-être est-ce parce que je me sens capable de mener à ma guise un univers qui me correspond (peut-être). Impression pourtant qu’entre mes doigts tout se délite, s’effrite, papillonne mais non ne rayonne…

L’épuisement et moral et physique et mental se traduit souvent chez votre humble auteur par un grand n’importe quoi. Des actes inconsidérés, irréfléchis, des errements las et poussifs, du lit au bureau, du bureau au lit, du lit au… un apitoiement pleurnichard sur tout ce qui ne va, un tableau noir de ce qui pourtant allait jusqu’à hier.

 

Mais hier semble loin, demain encore plus, le présent se fige et cristallise ce qui affleure à fleur de peau. Un tableau, une coupe, une photographie schématique de l’instant t que je ne peux traduire malgré un vague à l’âme sourd et pesant qui semble me dicter de sombres pensées…

 

Un sage a dit (ou bien peut-être est ce moi qui ait tiré cette conclusion d’une trop longue expérience) que la nuit est bonne conseillère ; un sommeil sans rêves, c’est le mieux que l’on puisse me souhaiter. Un oubli bienfaiteur, qui se terminera bien trop vite par la hachure mélodramatique du guitariste s’acharnant sur quelques cordes (Le Mouv’ au réveil).

 

Je voudrais croire que cette mélancolie n’est que passagère, mais je la vois traîner ici, du coin de l’œil, depuis un temps raisonnablement trop long, et je m’inquiète. Pauvre angoissée geignarde que je suis, jamais contente… chacun sa croix comme dirait l’autre barbu.

 

Savoir ce que je veux, encore une vérité que je n’entendrai pas ce soir ; alors, Sting à fond et le cœur au trente-sixième dessous, je monte le son et règle le réveil.

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30 novembre 2007 5 30 /11 /novembre /2007 23:08
Le week-end commence, et comme dit Paul, il n'est plus le moment tant espéré de la semaine, plutôt l'échéance tant redoutée... Deux jours, non pour sortir, boire comme des trous ou tout simplement se pieuter avec délice, mais bien deux jours pour se lever aux aurores et s'attabler avec mauvaise grâce devant la pile de révisions qui nous attend (en venir à regretter les cours, triste non ?).

Nos amis péraparationnistes doivent bien rigoler en lisant ce ceci, mais oui, même les IEPiens travaillent (enfin, lorsqu'ils y sont forcés).

Cependant, puisque je n'aime pas divulguer de mauvaises nouvelles sans rattraper le coup derrière, voici ce qui me motive le matin :
savoir que je rentre vers vous le 16 décembre, pile poil pour le concert de Noël !
Ce sera bien la première fois où je serai dans le public, mais ce sera d'autant plus rigolo ;)

Aussi je vous donne rendez-vous dans deux semaines, et commencez à regarder du côté de votre agenda... L'école de musique, vous êtes libres le 22 ? :D

*Astérie, fébrilement impatiente !*

Ci-dessous, la raison pour laquelle il est dur de me motiver lorsque je suis à mon bureau : jolie vue tentatrice...
Recadrage.jpg
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Présentation

  • : Mes pérégrinations
  • : Ailleurs... avec vous. Je quitte une vie, en démarre une nouvelle. Mais, encore et toujours, avec vous dans mes bagages. Bienvenue !
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  • Astérie*
  • Rieuse aussi bien que sérieuse,
 délirante comme chiante,
 je vous saoûle, me défoule,
 cours à 100 à l'heure, prends le temps du bonheur.
 
 ...Comme Vous, une foule de paradoxes...
 
 Les exploiter, pour avancer.
 Vivre. Respirer.
  • Rieuse aussi bien que sérieuse, délirante comme chiante, je vous saoûle, me défoule, cours à 100 à l'heure, prends le temps du bonheur. ...Comme Vous, une foule de paradoxes... Les exploiter, pour avancer. Vivre. Respirer.

Salutations

  S'installer ailleurs, une grande aventure...
Je la vivrai avec vous, si vous le voulez bien :).
 

Je suis là, blottie dans mon lit, sous la couette : musique à fond, des étoiles au plafond, mes bouquins pour dessus-de-lit, mes dessins pour oreiller, et vous pour m'accompagner dans ce drôle de rêve. 

Pour autant, rien n'exclut les moments de folie, les fous rires endiablés, les délires assumés et les prises de position passionnées !
Aussi je vous invite à suivre mes pérégrinations... aussi bien virtuelles, que visuelles, imaginaires, touristiques, méditatives, sentimentales, estudiantines ou festives. 
Bien à vous,
Astérie*

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